Caitlin : apprendre à accepter de l’aide en tant qu’aidant
Caitlin : apprendre à accepter de l’aide en tant qu’aidant
En septembre 2012, alors qu’elle avait 21 ans, Caitlin a appris une nouvelle que tous les enfants redoutent : son père avait été diagnostiqué d’un cancer du pancréas et on lui donnait trois mois à vivre.
Défiant les pronostics, le cancer de son père est d’abord entré en rémission après une intervention chirurgicale. Le cancer est réapparu trois ans plus tard, et Caitlin a emménagé chez son père pour l’aider dans ses soins. « Souvent, on se concentre tellement sur l’être que l’on aime, qu’on ne pense pas à l’impact que cela a sur soi. La santé de mon père était devenue une priorité absolue. À l’époque, j’étais moi-même en mode survie » dit-elle.
Cette expérience a appris à Caitlin l’importance d’accepter de l’aide en tant qu’aidant. « La meilleure façon de prendre soin de l’être cher est de s’assurer de recevoir l’aide dont on a besoin ». Poussée par le désir d’aider les personnes qui traversent les mêmes difficultés, elle s’est impliquée dans l’association de patients PanCAN après le décès de son père.
« Mon père disait toujours que trois choses font d’une journée une bonne journée », dit Caitlin. « Aider quelqu’un, apprendre quelque chose de nouveau et faire une chose productive ».
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Caitlin : apprendre à accepter de l’aide en tant qu’aidant

En septembre 2012, alors qu’elle avait 21 ans, Caitlin a appris une nouvelle que tous les enfants redoutent : son père avait été diagnostiqué d’un cancer du pancréas et on lui donnait trois mois à vivre.
Défiant les pronostics, le cancer de son père est d’abord entré en rémission après une intervention chirurgicale. Le cancer est réapparu trois ans plus tard, et Caitlin a emménagé chez son père pour l’aider dans ses soins. « Souvent, on se concentre tellement sur l’être que l’on aime, qu’on ne pense pas à l’impact que cela a sur soi. La santé de mon père était devenue une priorité absolue. À l’époque, j’étais moi-même en mode survie » dit-elle.
Cette expérience a appris à Caitlin l’importance d’accepter de l’aide en tant qu’aidant. « La meilleure façon de prendre soin de l’être cher est de s’assurer de recevoir l’aide dont on a besoin ». Poussée par le désir d’aider les personnes qui traversent les mêmes difficultés, elle s’est impliquée dans l’association de patients PanCAN après le décès de son père.
« Mon père disait toujours que trois choses font d’une journée une bonne journée », dit Caitlin. « Aider quelqu’un, apprendre quelque chose de nouveau et faire une chose productive ».
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